JOSEPH HAYDN
    
                    
        
                    
        
Symphonie n°51
    
                    
        
                    
        
                    
        
WOLFGANG AMADEUS MOZART
    
                    
        
                    
        
Concerto pour cor et orchestre n°1 KV 412
    
                    
        
                    
        
Symphonie n°24 KV 182
    
                    
        
                    
        
Sérénade nᵒ 13 pour cordes en sol majeur (Eine kleine Nachtmusik- Une petite musique de nuit) KV 525
    
                    
        
                    
        
                    
        
Présentation du concert à 18h15 par Philippe Albèra
    
    
    
                         
  
    
                    
        
Le programme du premier concert de cette 4e édition de notre 
    
                    
        
Festival Haydn – Mozart 
    
                    
        
est une ode au cor naturel, instrument redoutable et merveilleux à la fois, auquel les compositeurs ont tous deux donné ses lettres de noblesse. Mozart a écrit quatre concertos pour cet instrument, qu’il destina au grand corniste salzbourgeois de l’époque, Joseph Leitgeb. Celui qui porte le numéro 1, composé en dernier (1791), est à l’affiche de ce programme. La 
    
                    
        
Symphonie n°51 
    
                    
        
de Haydn, elle, recèle en son adagio certaines des phrases les plus extrêmes et les plus périlleuses pour l’instrument ; elles valent à elles seules le détour. La Symphonie n°24 de Mozart est composée la même année et il est fascinant de comparer les styles contemporains du Mozart de 17 ans et du Haydn de 41 ans.
    
                    
        
                    
        
                    
        
Nous devions commencer à donner et enregistrer les concertos pour cor et orchestre de Mozart avec Olivier Picon en juin 2023, dans le cadre de notre voyage à travers l’intégrale des concertos pour instruments à vent et orchestre du divin Wolfgang. Un bel aléa de la vie aura repoussé ce projet d’une année et nous y revoici, avec encore plus d’envie et d’excitation qu’un an auparavant !